Forum des élèves de Polyphonies, école à distance d'écriture musicale et de composition.
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Bonjour
Dans le cours 01 en page 8, il est mentionné que " a3 est une limitation libre de a. Deux intervalles y on été agrandis " je pense qu'il s'agit " a3 est une imitation de a "2" car ce schéme a3 est plus proche de a2 que de a
Merci pour vos réponses
MIC
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Pour nommer les imitations, on se réfère au schème initial qui est le schème "a". Les imitations peuvent être proches l'une de l'autre mais la référence reste le schème initial.
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je comprends ou accepte puisque ( c'est une définition ou la pratique définie) que pour nommer les imitations , il faille se référer au schème initial mais ici vous dites deux intervalles y ont été agrandis et que de ce fait a3 est une imitation libre de a .
Mais les deux intervalles qui on tété agrandis sont à partir du schème a2 do si la qui devient si sol# mi en a3 , dans un mouvement descendant tout deux identiques et moins à partir de "a" ?
Et il me semble que ces deux schèmes a2 et a3 sont plus semblables que a et a3 puisque "a " a une broderie la si la que " a3 " n'a pas .
Même si l'origine de ce schème a3 est de la famille de a , il semble être issu ou extrait plus de a2 que de " a "
Cet exemple m'interroge sur le degré de liberté d'un schème . Quelles sont les limites ou le degré de liberté que l'on peut autoriser à un schème pour affirmer que tel schème est une imitation libre d'un schème initial
Merci pour votre réponse
MIC
Dernière modification par mic03714 (17-12-2014 21:09:52)
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Les schèmes a2 et a3 sont deux imitations libres de a. Dans le premier, on change la direction d'un des intervalles et il ne peut donc être analysable qu'en imitation libre. Dans le second, on poursuit cette logique en agrandissant en plus deux intervalles. Dans ce sens, c'est vrai que a2 et a3 sont dans une même logique mais le schème de référence reste a. Nous n'analyserons pas ce schème : a2-1.
Pour le degré de liberté, il faut revenir au cours sur l'imitation libre. Tout schème qui n'est pas analysable selon que les imitations étudiées est une imitation libre. En élaborant une imitation libre dans une pièce, il faut veiller à ce qu'elle conserve suffisamment de caractéristiques pour que l'on puisse l'identifier comme tel.
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