Forum des élèves de Polyphonies, école à distance d'écriture musicale et de composition.
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Bonjour,
Jusqu'ici, Jean-Luc nous avait mis en garde sur le fait qu'il valait mieux éviter de placer à la verticale l'un de l'autre des sommets/creux mélodiques.
Or, dans l'exemple du cours ci-dessous (en Do majeur), cela semble être le cas :
En effet, le Fa présent à la basse de la seconde mesure est un sommet, et nous avons, sur la ligne de contrepoint, un creux relatif sur le ré du premier temps de cette même mesure.
Merci de vos éclairages avisés.
Cordialement.
jlbellier
niveau II - cours 28
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Hello Jbellier
Ta remarque est juste si on se réfère à ce que que Jean-Luc nous a dit concernant les sommets et les creux mélodiques. Cependant si je reprends un de ses termes, j'en déduis que c'est possible !! Il nous a bien dit D'EVITER ! Ainsi ce n'est pas interdit. Donc tant que tu peux l'éviter tant mieux mais dans le cas contraire on ne t'en voudra pas.
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Et puis, quand on regarde la ligne mélodique dans son ensemble, on remarque qu'elle est globalement ascendante.
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Bonjour,
Merci à jmc72 et HarmoChopin pour leurs réponses.
HarmoChopin a écrit:
Et puis, quand on regarde la ligne mélodique dans son ensemble, on remarque qu'elle est globalement ascendante.
C'est la conclusion à laquelle je suis venu. Je suis donc retourné écouter le cours. Jean-Luc dit, dans l'étude du premier exemple, qu'il fallait veiller à ne pas altérer l'intérêt du grand rythme de la mélodie. Dans ce même exemple, la seconde partie est localement tournoyante, mais globalement dynamique.
jlbellier.
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Les réponses viennent toutes seules
en effet, le creux de la voix supérieure n'est pas important car il se situe dans ce long mouvement ascendant qu'il ne modifie pas.
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