Forum des élèves de Polyphonies, école à distance d'écriture musicale et de composition.
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Bonjour Jean-Luc,
Vos dernières corrections de l'Allemande révèlent qques pts manquant de clarté pour moi :
1 - Juste après le shème de coda au début de cet extrait, vous soulignez une 7ème non résolue. Vous avez certainement remarqué que j'avais placé sa résolution une 8 au-dessus (vous corrigez également cela sur le sol d'une 5- deux mes. + tard). Pourquoi n'est-il pas "permis" de procéder ainsi ? Il me semblait pourtant bien avoir croisé ce procédé ds les cours précédents...
2- Au début du 1er comm. , c'était pour ne pas répéter le mi-sol-mi initial de l'expo que j'ai choisi de placer le shème une 3 au-dessus (ce qui par ailleurs me semblait cohérent avec le début du 2nd comm., lui-même placé une 3 + haut - cf pt 3), ce qui du coup fait effectivement débuter la pédale de mi sur le dernier levé du 1er tps de la mes. suivante. En quoi est-il "gênant" que cette pédale ne commence pas, comme chez Bach, dès le début du comm. ? Manque de clarté ds le discours ?
3- C'était donc également par souci de cohérence que je me suis permis la 4 non résolue sur Ib au début du 2nd comm. ... Et là, je ne comprends pas bien pourquoi la 4 est tolérée au levé (il y en a +sieurs ds la mes. 1 du comm. 1) - ou au posé lors de la répétition d'un même accord (comme on a pu le voir ds le cours sur la Gigue si mes souvenirs st bons) - et pas, comme ici, au posé, alors qu'on reste ensuite sur le même accord...
Merci d'avance pour vos explications complémentaires.
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1. Elle dissone doublement ici, en tant que 7ème et en tant que 5-. Bach l'a fait peut être fait mais c'est Bach et il a terminé les cours à Polyphonies, il y a très longtemps
2. dans le premier schème, la note pédale est la deuxième note au levé et dans les imitations, elle est la troisième ce qui n'est pas logique. De plus comme il n'y a que des intervalles disjoints dans ce passage, ce qui en soi n'est pas heureux mélodiquement, on perçoit même pas l'intervalle d'imitation en tierces.
3. Effectivement, cette quarte peut être tolérée.
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Merci Jean-Luc.
1 - Vous confirmez donc que cette possibilité de résolution à l'octave, pour être prématurée, n'est pas pour autant complètement hérétique ?
2 - Je rectifie la coquille : ds le 1er shème mi est sur le 2ème posé.
Mais c'est cela que je ne comprends pas bien : mis à part la conformité au modèle (et la question de cet intervalle de 3 omniprésent ), pourquoi doit-on considérer que la pédale commence obligatoirement ici et pas un peu + tard, comme j'ai pensé que cela était possible en composant ce passage ?
3 - Comme souvent, le meilleur pour la fin... (mais soyez sans inquiétude, je n'ai pas oublié le ctpt renversable)
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1- Un jour pourquoi pas
2- votre commentaire commence avant la mesure. Dans ce schème qui la précède mi est avant dernière tandis qu'elle est dernière note dans les schèmes suivants. C'est avant cela qui ne convient pas: l'imitation n'est pas logique. Ce qui n'est pas heureux non plus, c'est l'absence de mouvements conjoints dans votre commentaire qui est pour le moins peu mélodique. Comparez d'un point de vue des intervalles avec celui de Bach. Dans le modèle on perçoit l'extension ce qui n'est pas le cas dans votre exemple.
3- Ne l'oubliez pas en effet car on entre bientôt dans l'invention à 3 voix et la fugue
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