Forum des élèves de Polyphonies, école à distance d'écriture musicale et de composition.
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Bonjour,
Dans ma première tentative de sujet, son imitation contraire contient une dissonance non résolue:
J'ai bien compris que la quinte diminuée du sujet d'origine était à proscrire parce qu'elle deviendrait juste dans les imitations semblables, et du coup je comprends mieux pourquoi mon sujet consonant produit une imitation contraire avec dissonance.
Ma question porte sur la résolution de la dissonance.
Je me souviens avoir très souvent écrit (dans une vie antérieure) des retards ou des septièmes dont la résolution était précédée d'une appogiature, à la façon de la voix supérieure ici (le Sol dissonant se résout sur le La appogiaturé par le Si).
Je ne discute pas la dureté de mon imitation. Elle est seulement l'occasion pour moi d'essayer de faire le lien entre ce qu'on m'a enseigné dans le temps et ce que nous apprenons ici.
Aura-t-on le droit de "retarder" la résolution plus tard, ou y a-t-il une différence fondamentale entre ce que décrit mon souvenir et la définition de la dissonance ici?
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Nous aurons l'occasion d'employer ce retard de résolution en composition notamment avec les classiques. Dans ces premières pièces, il est demandé d'écrire avec le langage que l'on a travaillé dans les cours de schème et contre-schème de manière pas axer son attention sur la composition, c'est-à-dire la construction de la pièce et le développement du matériau exposé. Au fil des pièces, nous étudierons les subtilités du langage de Bach et une fois assimilées, elles pourrons être réutilisées dans les pièces. Pour l'instant, la dissonance doit être résolue directement
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