En effet, d'un côté il y a deux "difficultés" mélodiques, très grand intervalle et dissonance au posé. De l'autre, il n'y en a qu'une, la dissonance au posé. C'est la grande différence entre les deux

Bonjour Jean-Luc,

Je reprends ce fil avec cette correction issue de l'invention à 3 voix du c48.



Ici, tout se passe de façon conjointe. Le critère du post précédent ne peut donc être retenue dans l'analyse des dissonances dans ce passage en Do M.
Dans ce que je comprends, ici, il y a ici 2 ambigüités successives :
1 - d'abord, la 4 posé
2 -puis cette 3 sur la croche du temps
Pour 1-, est-ce parce que la 4 est tjrs ambigüe ?
Pour 2- est-ce parce que le placement de cette tierce "affaiblit" le rythme simple à la noire de la pièce et rend ainsi confuse l'harmonie. Cette tierce placée une double croche + tôt aurait-elle été plus heureuse ?
Ou bien peut-être est-ce d'abord la succession, l'addition sur le même tps harmonique de ces 2 ambigüités qui pose pb ?
Pourriez-vous svp expliciter davantage votre commentaire, notamment au niveau des critères qui doivent être retenus pour exercer cette "vigilance" dont vous parlez ?
J'avoue être un peu perdu sur la question, d'autant que pour moi ces dissonances au posé ne résultent pas tant d'un choix délibéré que du bricolage mélodico-harmonique nécessaire du point de vue des lignes mélodiques et du grand rythme.

Merci d'avance.