Merci Jean-Luc pour votre réponse ainsi que celle au post précédent.
Vous n'avez pas répondu à la seconde question mais votre correction de la première série me laisse supposer une réponse positive
L' essentiel est  donc que le thème se termine par une cadence, qu'elle soit parfaite, imparfaite ou rompue... plagale également ?

Je m'aperçois en commençant la seconde série de ce cours d'un autre point pas très clair pour moi.
Il s'agit de la relation entre le rythme simple choisi du ou des shèmes initiaux et la métrique du thème. D'après les ex du cours, il me semble que le thème doit obligatoirement être dans une relation de multiple du rythme simple. Par ex, si les shèmes initiaux sont à la noire, le thème pourra être élaboré en 2/4, 3/4, 4/4, etc... Est-ce bien cela ?
Mais est-il également possible d'écrire en 2/2 à partir de shèmes à la noire ou inversement (ce qui semble problématique, cf ci-dessous) ?

D'autre part, dans ce  récent fil http://www.polyphonies.eu/forum/viewtopic.php?id=1401, vous écrivez :
"Le seul cas où la jonction serrée est possible est celui où le schème commence par un silence".
Ce qui en fait est systématique puisque le  schème doit commencer au levé (pour permettre justement les jonctions )
Dans l'ex suivant ,

les shèmes à la blanche débutent tous sur un posé et s'enchaînent  ds le thème en jonction serrée. Je suis du coup un peu surpris que cela n'ait pas donné lieu à correction. Mis à part l'erreur de métrique (qui nous ramène au point précédent et que vous n'avez pas relevé en correction mais qui rend caduc tt le thème puisqu'en 2/4 les 2ème tps à la basse ne peuvent + être considérés comme des notes fonctionnelles...  ), ce thème est donc correct du seul point de vue de l'enchaînement des shèmes?

- Rien ne nous oblige à terminer par un accord de tonique puisque la fin du thème n'est pas la fin de la pièce. Il faut effectivement une articulation cadentielle.  Par contre, on le commence par un accord de tonique.
- En règle générale (vous trouverez des exceptions car les compositeurs sont des électrons libres ), la pulsation et la mesure sont en relation étroite. une pulsation à la blanche s'indique en /2 et une pulsation à la noire en /4.  Si l'on trouve des pulsations à la blanche ou à la croche avec /4, l'inverse, /2 pour une pulsation à la noire, est plutôt rare, pour ne pas dire inexistant (on ne sait jamais! ). Je vous déconseille de pratiquer ainsi.
- Ce cours sur le thème est le dernier avant la composition et le dernier permettant d'expérimenter les techniques que l'on abordées en écriture. En composition, la démarche sera tout autre. Ces jonctions particulières des schèmes seront possibles au niveau IV avec les compositeurs classiques et romantiques. Etant donné que le cours présente des compositeurs de différentes époques, je n'ai pas relevé ces jonctions, vous laissant expérimenter cette technique.
Le schème commence au levé dans le langage de Bach mais pas nécessairement dans ceux de Mozart et Beethoven. Comme vous allez travailler avec un langage contemporain de Bach pendant une bonne partie du niveau III, il vous donc faudra revenir très bientôt à cette manière de procéder