avant de considérer ces parallélismes, une observation: il faut placer les liaisons dans les exercices avec les retards. 
Il n'y aurait pas de note au posé si vous aviez placé la liaison puisque c'est la note précédente qui se prolonge. Alors qu'il y en a une dans votre représentation.


Il n'y a donc pas de parallélisme entre les notes au posé ici. En théorie, cet exemple pourrait tout à fait convenir ..

sauf ....

si l'on considère les mouvements mélodiques des notes comme on les entend même s'il y a des décalages:
si ré au soprane
si ré à l'alto
ré-fa au ténor
Il y a donc peu d'Intérêt d'un point de vue de la complémentarité et des  lignes.
Toutefois, ces enchaînements restent théoriquement possibles car on les utilisera en composition. Dans quels cas? Par exemple, si l'on veut faire un changement de tessiture au début d'un commentaire ou alors dans une incise.

Cet enchaînement passe bien sûr plus facilement si l'on reste sur le même degré. Dans le cas, d'un changement de degré, il faut analyser les relations entre les notes

D'ailleurs si l'on écoute l'exercice avec ou sans liaison, cela fait aussi une sacrée différence